CINQUIÈME SAISON
Sur les traces de Kurt Tucholsky aux Pyrénées, 100 ans après

Gabriel Weissberg
« Il n’était pas simple d’être francophile en 1925, sept après la fin de la Grande Guerre et en pleine montée du nazisme pour le journaliste et écrivain allemand Kurt Tucholsky (1890-1935). Aussi éprouva-t-il le besoin « pour se reposer de son pays » de faire un voyage dans les Pyrénées françaises, se passionnant plus pour les petites gens et les modes de vie que pour les sommets et les ascensions. Il en fit un récit qui eut un grand succès, « Ein Pyrenäenbuch », paru en Allemagne en 1927… mais qui dut attendre 1983 pour être traduit et publié en français. C’est cet étonnant retard qui a mené le géographe Gabriel Weissberg dans les pas de l’écrivain allemand. 100 ans après, l’auteur accompagne Tucholsky dans son voyage et interroge le destin de ce livre, découvrant un écrivain au destin tragique dont les écrits restent d’une étonnante modernité. »
Isbn : 978-2-493504-12-8 – 190 pages – 14 X 21 cm – Prix 15 €
José Martinez Cobo raconte ici le parcours de quatre membres de la deuxième génération de l’exil républicain espagnol de 1939. Le carrossier Ramón Huerta, l’ouvrier maçon José Castro, la comptable de Renault-Billancourt Carmen García et l’électromécanicien de la Société nationale industrielle aérospatiale toulousaine Manuel Simón : chacun d’eux a contribué très activement à bâtir le pont mémoriel de près de quarante ans qui surmonta la nuit de la dictature franquiste. Conditionnés par le vécu aventureux et très prégnant de leurs pères, ils se transformèrent, non seulement en héritiers de leur mémoire, mais aussi en acteurs prolongeant leur combat.


La prière du guérisseur

D’après une correspondance franco-sénégalaise dans la seconde moitié du XIXe siècle
Dans ce récit autobiographique, José Martinez Cobo témoigne sur ce que fut l’exil espagnol en France. Il raconte l’enfance toulousaine, le dénuement matériel, le dévouement maternel, la détermination dans les études, les frasques de jeunesse.